Iran, le pays qui pour moi, témoigne le plus de l'amour du cinéma sur la scène international, car bien des gens disent que la méthalèpse au cinéma à été popularisé par "being john malkovich" de Spike Jonze en 1999, mais retour neuf ans en arrière est sorti "Close Up" de Abbas Kiarostami dont la mise en scène relève du génie par son utilisation de la méthalèpse niveau mille, en faisant jouer les protagoniste du fait dont est tiré le film, dans la reconstitution des évènement.
Passant aussi par Djafar Panahi qui a détourné les lois pour pouvoir réaliser ses films, et comme si ça ne suffisait pas de faire d'excellents films, il a fait "Ceci n'est pas un film" dont tout le sens réside dans le titre.
Tout ça pour dire que malgré que L'Iran soit un pays à hautes restrictions question liberté d'expression, la créativité l'emporte sur la dictature.
Entre moi et l'animation iranienne, il n'y a que Persepolis de Marjane Satrapi, mais même si ces deux films ne se déroulent pas durant la même époque, le fond n'a pas changé, et quand je dis fond, je parle bien sur des gardiens de la révolution, de la police de la morale, des lois islamiques... Ou malgré les interdictions sur et les tabous sur la drogue, sexe, corruption, ceux ci vivent en parfaite harmonie dans l'ombre des ruelles de Téhéran.
C'est l'histoire du peuple qui veut vivre comme il l'aime tant le faire au cinéma.
En bref, regardez ce film.