On jurerait que le film a été produit il y a 20 ans, du temps où les artisans hong-kongais (et Andy Lau) enquillaient des divertissements charmants mais un peu bancals, teintés lorsqu’ils s’aventuraient à l’étranger d’un exotisme de bande-dessinée. Pour qui est familier de ce cinéma-là, The Adventurers ressemble à une Madeleine de Proust au kitsch prononcé. Pas de quoi s’aérer la tête en gardant le sourire, même si vu de chez nous, la « prestation » télécommandée à distance de l’ami Jean Reno vaut son pesant de pistaches.
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