Tourmenté par une promesse faite au défunt père de Gwen, Peter est contraint de prendre ses distances avec sa bien-aimée. Pendant ce temps à Oscorp les événements s’enchaînent : tandis que Norman Osborn, PDG de la multinationale meurt avant de céder sa société à son fils, Harry, un incident se produit dans le secteur électricité de la boîte créant ainsi Électro un autre ennemi mythique de Spider-Man. Harry Osborn qui est un vieil ami de Peter lui avoue qu’il est en train de mourir des mêmes infections que son père et lui demande de le mettre en contact avec Spider-Man, croyant que c’est l’unique personne qui peut le sauver de son sinistre destin. Peter est alors contraint de faire des choix lourds de conséquence et va devoir en payer les conséquences.
Les suites dans le cinéma ne sont pas forcément source de succès du moins, pas du point de vue scénaristique. Pourtant, nous avons ici affaire à une version bien plus intéressante que le premier film. Bien plus tragique, il abordera des sujets bien plus graves et ce n’est pas pour me déplaire. L’humour y est encore présent fort heureusement et est parfaitement équilibré sur l’ensemble du film. Amateurs de easter egg (clin d’œil) vous serez servi avec de multitudes de références et notamment à la trilogie originale de S. Raimi. Contrairement à son grand-frère, TASM II propose 2 méchants très réussis : Électro et le Bouffon Vert (rien de moins que le plus mythique des ennemis de Spider-Man) avec des motivations ô combien intéressantes. Encore une belle réussite pour les studios de Sony et pour Marc Webb qui a su s’approprier le personnage de l’homme araignée à la perfection.
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