On peut le dire, Spider-Man est désormais has-been. D’ailleurs l’équipe des Marvel n’a plus grand-chose à nous raconter. Pendant deux heures vingt, Marc Webb navigue entre blagues ados, histoire d’amour et semblant de fil conducteur. Il faudra attendre la fin pour qu’il ne se passe vraiment quelque chose. Et finalement, si on enlève tous ces grossiers éclairs bleus numériques, il n’y a pas grand-chose. La 3D est également superflue. The Amazing Spider-Man : le destin d’un Héros, est l’un des films de supers-héros les plus ratés de ces dernières années.