falsification et authenticité

Le protagoniste est un connaisseur d'art de génie et un commissaire-priseur prospère. Sa société, sa maison, est remplie d'œuvres d'art. Un jour, une jeune femme lui demande d'évaluer ses biens ménagers, ce qui déclenche une histoire d'amour et un mystère qui l'amène à se demander qui est cette femme invisible.

Le protagoniste est un fin connaisseur, dandy, réservé à l'égard des femmes, qui developpe le film seul. Il est tout à fait professionnel pour identifier les œuvres d'art comme étant des faux ou des authentiques. Mais il n'est pas fort à femme.

De plus, il est intéressant d'avoir un aperçu du monde des amateurs d'art, avec de nombreuses scènes entourées de peintures, de meubles et de sculptures.

Après l'avoir regardé une fois, j'ai essayé de le regarder à nouveau, mais je n'y suis pas parvenu.

Tout d'abord parce que l'histoire manque de profondeur. L'histoire du dandy âgé, connaisseur d'art, qui tombe amoureux comme un jeune garçon, est intéressante. Mais les autres personnages ne sont que des jeunes qui s'ennuient. Je ne me souviens plus du tout de leurs expressions. Ils pourraient être remplacés par d'autres acteurs.

Deuxièmement, l'art est considéré comme un simple outil financier. Les meubles de Claire n'avaient aucune valeur. Ni les portraits, qui ont été acquis à bas prix par des connaisseurs, ni l'acte lui-même n'ont suscité d'intérêt.

Ces jours-ci, il m'arrive de réfléchir à ce qu'est un film italien, mais je n'ai pas encore trouvé de réponse. Si Virgil Oldman ne tombe pas complètement amoureux mais doute de ce que fait sa jeune et jolie femme ? Si Virgil Oldman engage un détective et se venge ? Ce film italien ne développe pas de telles histoires. Virgil Oldman se contente d'admettre qu'il y a une part d'authenticité dans la falsification, même dans le cas d'une femme.