Le pitch en une phrase : Nastya ne va pas être au bout de ses surprises quand elle va découvrir que sa belle-famille est frappée d'une malédiction et doit, pour s'en sortir, effectuer d'obscures rituels de magie noire.
J'ai bien aimé : Une première partie intéressante, intrigante et même frissonnante. Podgayevskiy prend son temps pour nous poser les bases de l'intrigue, c'est plutôt sympa et l'actrice Viktoriya Agalakova, quasi sosie de Anya Taylor-Joy, est convaincante.
J'ai moyen aimé : Puis tout cela commence véritablement à s'essouffler. L'intrigue s'emmêle progressivement les pinceaux et les personnages deviennent extrêmement caricaturaux.
J'ai pas aimé : Jusqu'à une fin complètement foutraque où tout part à vau-l'eau et où se mêlent esprit façon La Nonne, multiples courses poursuites, sacrifices en tout genre... Tout cela filmé dans le noir donc on ne peut que deviner les nombreux clichés de film d'horreur proposés. Véritablement catastrophique.
La conclu en une phrase : Sur un bon concept, The Bride commence en papillon pour finir en bouse de vache et c'est d'autant plus dommage qu'il y avait du potentiel à tout étages.