Dafuck?
The Crow : Salvation et Wicked Prayer sont comparables à Paul Ws Anderson et Uwe Boll; si l'un n'est pas qualitativement merdique, il n'est rien à retirer du dernier, infamie de toutes les infamies,...
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le 20 sept. 2018
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C’est dans ce congélateur que ma mère m’enfermait
Luc commet un meurtre. La victime revient à la vie pour se venger.
Énième itération par décalquage de l’intrigue du premier épisode, le métrage demeure foncièrement nauséabond. Bien qu’il ne soit pas avare en actions, un ennui poli s’installe irrémédiablement, nous serons de temps à autre vivifiés par la vision d’un vertigineux décolleté de la bimbo tout droit sorti d’American Pie. De plus, il y a une sorte de carte d’identité pour présenter des personnages avec des informations aberrantes telles « origine : métis » ou « sa mission : l’enfer sur Terre… littéralement ». Je crois que le pompon est l’acteur réputé mexicain pour incarner un Amérindien, le directeur de casting ne s’est même pas donné la peine d’en dénicher un, je veux bien qu’il soit devenu rare d’en croiser depuis le génocide de l’homme blanc. La distribution est improbable : David Boreanaz, vétéran de séries, Danny Trejo, interprète grimaçant et Tara Reid, choisie primordialement pour sa plastique. Néanmoins, le meurtre à l’aide d’un désinsectiseur électrique est sympathique.
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le 27 sept. 2024
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C'est quelque peu clownesque.Y a des idées correctes ; certes, l'histoire du Corbeau sent le réchauffé, mais celle des méchants est par contre un peu plus fouillée, alimente ainsi l'univers sans pour...
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