The Darkest Hour par Florian Bodin
Parfois en regardant une simple affiche on peut facilement savoir si un film sera une sombre merde ou réussi. Lorsque j'avais vu celle de The Darkest Hour j'avais été pris d'un relent vomitif... Mon instinct ne m'avais pas trompé.
Après avoir vu cet étron, on peut se demander ce que sont venus foutrent Emile Hirsch et Max Minghella là-dedans étant donné qu'ils ne sont pas de mauvais acteurs. On se demande même comment un tel projet à pu être financé tant il est crétin et dénué de tout bon sens. Les personnages sont d'une idiotie incroyable, les situations sont ridicules et caricaturales, la réalisation est sans âme et surtout le tout donne un résultat d'un ennui mortel.
On se retrouve avec deux hommes d'affaires complètement cons qui arrivent à Moscou et qui se retrouvent tout seuls à aller dans un bar branché pour rencontrer deux américaines, et qui vont ensuite combattre une race extraterrestre invisible dont les concepteurs n'auront même pas pris la peine d'imaginer un semblant le design. Tous les clichés sont présents et rien ne nous sera épargné, même la petite scène de nudité.
En fait je ne vois même pas pourquoi je continue à formuler ma critique sur cette chose tant elle mérite la destruction.
Bref The Darkest Hour est une daube sans nom, qui soit vous donnera de l'urticaire soit vous passionnera moins qu'une émission des Chiffres et des Lettres. Les ricains sauvent le monde, les russes sont teubés, les CGI dégueulasses donnent l'impression d'avoir été réalisés par un débutant sous After Effects et la sensation de solitude est absolument inexistante tant le script nous donne l'impression que la fin du monde est en Russie et nulle part ailleurs.