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The Defiance of Good (1975) ou "Defiance!" est un film pornographique de 68min réalisé par Armand Weston.
Le film narre l’histoire de Cathy, une fille de bonne famille, qui se retrouve placée par ses parents, dans un institut psychiatrique afin de la sevrer (pour ne plus retomber dans la drogue). Sauf que ces derniers ne savaient absolument pas qu’au sein de cet asile, régnait la débauche et la luxure. Les malades mentaux évoluent en toute liberté et les médecins (du moins, certains), ne semblent pas prendre leur métier très au sérieux. Victime d’attouchements et de viols au sein de cet institution douteuse, Cathy n’est pas seulement abusée par les pensionnaires, mais aussi par certains membres du corps médical (et ce, dès son arrivée au centre !).
Dans la lignée des films porno underground du début des années 70, tel que le sulfureux Forced Entry (1973) de Shaun Costello, le film nous dévoile l’horreur dans lequel la jeune Cathy va s’engouffrer malgré-elle (triolisme, fellations, partouzes, … rien ne lui sera épargné). Et l’horreur est loin de prendre fin, lorsque Cathy pense enfin pouvoir trouver la paix en changeant d’institut, cela ne fait qu’empirer, s’adonnant aux vices et au sado-masochisme par le biais de l’assistante du médecin en chef !
Il est intéressant (et amusant) de constater que c’est à travers ces innombrables agressions et autres initiations sexuelles, que Cathy va pleinement découvrir son corps (elle qui a été élevée au sein d’une famille catho/coincée), va connaître les joies du plaisir féminin (notamment lors d’une séance de masturbation où le gourou / le docteur Gabriel va lui dicter ses faits et gestes).
Il en résulte une œuvre dérangeante & amorale, certes loin d’être un "roughies", le film n’en reste pas moins pornographique et malsain.
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« - Tu me connais ?
- Non, je ne pense pas.
- Je suis le dernier des grands poètes, Baudelaire, Rimbaud, William Blake, leurs sangs circulent dans mes veines. Tu veux écouter un de mes poèmes ?
- Oui.
- Il n’y a pas de titre. Que… Baise. Baise. Baise. Baise. Baise. Baise. Baise. BAISE. BAISE. BAISE. BAISE. BAISE. BAISE. BAISE. BAISE. BAISE. BAISE. BAISE. »
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Créée
le 29 nov. 2020
Critique lue 372 fois
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