Trip juvénile réalisé avec une seringue plantée en permanence dans le bras, Doom Generation joui d'une esthétique intéressante surement pompée dans une multitude de films, mais en parfaite cohésion avec un propos aussi inintéressant que jubilatoire.
Ça baise, ça rote, ça bouffe son sperme, ça coupe des têtes qui parlent, ça arrache des bras, et tout ceci dans une indifférence totale qui ravira ou agacera les spectateurs selon la quantité de dope dans leurs veines.
La fin du film est quand même bien marquante et n'a rien a envier aux snuff movies les plus dégueulasses que j'ai eu l'occasion de voir.
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