Second volet de la "Teen Apocalypse Trilogy", Doom génération en est aussi le plus sombre et grave. Ce film laisse un goût amer qui met un certain temps à ce dissipé malgré l'humour et l'absurdité qui y sont disséminés tout du long.
On reste toujours dans l'underground des années 90 cette fois-ci avec une revisitation du genre Road Movie.
Les trois personnages se mettent en route pour une épopée surréaliste teintée de violence et de tension (homo)sexuelle.
Plus proche esthétiquement de Nowhere que de Totaly Fucked Up, Gregg Araki à ici soigné les décors et les jeux de lumières pour apporter au film un côté moins pop que les deux autres.
A voir! Ne serait-ce que pour jubiler devant Rose McGowan en femme fatale (ou en pétasse insupportable) qui n'est pas sans rappeler son rôle dans le plus récent Planet Terror de Robert Rodriguez.
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le 28 févr. 2015
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