Surpris de cette nouvelle production Disney. C'est le schéma narratif habituel du film catastrophe s'appuyant sur une histoire vraie, mais c'est pourtant assez bien concocté pour en faire un spectacle digne et un minimum captivant.
L'histoire raconte d'un côté celle d'un pétrolier coincé au milieu d'une tempête d'une rare violence et d'un autre celle de l'équipe de sauvetage en charge de braver les éléments pour venir à son secours. Avec un peu de romance et quelques clichés du genre pour donner du caractère aux différents personnages, le long-métrage arrive à ne pas en faire des éléments rédhibitoires.
Le récit est rythmé, les images parfois spectaculaires, ou du moins elles font leur boulot correctement. S'il y a un élément parfois plombant c'est sur la fabrication forcée de certaines émotions au détriment de la crédibilité.
Craig Gillespie est un faiseur efficace allant à l'essentiel. Loin d'être un film inoubliable, The finest hours avec ses bons sentiments, sa fraternité affichée, ses acteurs (Chris Pine, Casey Affleck, Ben Foster, ...) et son spectacle est un divertissement old school parfaitement calibré pour une bonne petite soirée popcorn.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de 2016
Créée
le 26 févr. 2016
Critique lue 596 fois
2 j'aime
D'autres avis sur The Finest Hours
C'est mélo au début. C'est mélo à la fin. C'est Disney, la musique est tantôt lancinante, tantôt très bruyante. The Finest Hours n'échappe pas aux défauts attendus que beaucoup se feront un plaisir...
Par
le 3 mars 2016
13 j'aime
Muni d’une filmographie aux films oubliables, à l’exception du sympathique Lars and the Real Girl, et destinés principalement aux adolescents, la comédie potache Mr. Woodcock et le remake de Fright...
Par
le 26 févr. 2016
7 j'aime
C'est Jack. Il est puceau, mais son meilleur pote lui a dégoté un date, "un plan à 4 de ouf tu verras". Après deux trois conseils sur le roulage de pelle dans l'auto, les deux amis sortent et se...
Par
le 11 avr. 2016
6 j'aime
2
Du même critique
Le soleil. Une réception mondaine. Romain Duris (Georges) en charlatan fabuleux. Des bourgeois crédules. Une rencontre. Viriginie Efira (Camille) et l'élégance élancée d'une colombe. Puis une danse...
le 7 janv. 2022
26 j'aime
6
C'est une sensation inhabituelle qui naît au générique de fin de Ma Loute quelque part entre la poésie tragique et l'incompréhension totale. Toute la séance durant, le ressenti n'a de cesse...
le 13 mai 2016
23 j'aime
2
On est d'accord, on la viole pas ? Non, non... Non on la viole ou non on la viole pas ? Non, non on la viole pas ! clin d’œil... Non, on la viole pas. ... Non, mais je parle du viol cool, le viol...
le 1 avr. 2017
20 j'aime
21
