Quand il est question de bouffe, je ne suis jamais loin et lorsque en plus c’est associé au réalisateur Stephen Chow, la gourmandise n’en est que plus grande ! Mettons les pieds dans le plat ; se lancer dans The god of cookery c’est entrer dans un univers particulier rythmé par un humour absurde. Pas d’étonnement donc à voir une boulette tellement élastique qu’elle sert à jouer au ping-pong ou d’atterrir au cœur d’un monastère avec 18 moines de bronze Shaolin. Pour assaisonner le tout, les comédiens n’y vont pas avec le dos de la cuillère quand il s’agit d’interpréter avec excès leurs rôles respectifs. Une comédie qui date de 1996 mais qui a su conserver toute sa saveur, à recommander aux fans de Food Wars ou Le petit Chef pour les plus vieux d’entre nous.