L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....
Quand deux univers se rencontrent, ça donne soit un chef d'oeuvre, soit une bouse ultime soit un truc un peu frustrant.
C'est ce troisième cas de figure qui se présente pour ce frelon vert.
Michel Gondry se tente au film de super héros (bon, un peu particulier quand même) genre qu'il a beaucoup aimé plus jeune, on le sent bien (et on sait que c'est un de ses moteurs).
Donc c'est pas vraiment du film de SH (et à la limite heureusement, mais quand bien même, ce créneau du héros décalé commence commence à être chargée), il essaie de truffer le récit de petites pointes de son univers mais ça reste à mi-chemin.
Ni un film de super héros réussi, ni vraiment drôle, ni vraiment un film de Gondry (et c'est ma principale déception, finalement).
Un Gondry dont on sait maintenant, qu'il sait aussi faire de "vrais" films dans le sens blockbusterien du terme.
Sympatoche mais dommage.
(PS: film vu en 2D, monsieur Torpenn, d'où le point de plus...)