Malheureusement absent de la case salles de Cinéma, The Irishman est cependant l'un des tous meilleurs films de l'année.
Porté par la mise en scène et le casting all star des génies italo-américains septuagénaires de l'age d'or du "nouvel hollywood", the irishman porte bien mal son nom quand on lit sur l'affiche le nom de ses fabuleuses têtes d'affiches.
Une fois de plus , Scorcese nous replonge dans l'univers de la mafia de l'après guerre avec cette fresque de 3H29 qui reprend l'itinéraire bien réel de FrancK Sheeran qui fut l'un des principaux tueurs du crime organisé, de son entrée dans la mafia à sa mort dans une maison de retraite en 2003. En parallèle, on y suit aussi le destin tragique et énigmatique du syndicaliste Jimmy Hoffa, qui fut l'une des principales figures de l'amérique des années 60.
C'est un film virtuose comme on en fera probablement plus beaucoup que nous offre à nouveau Martin Scorcese.
La mise en scène est époustouflante, rythmée par de longs plans séquences, des flashback, des ralentis, des voix off qui illumine un scénario passionnant et complexe.
The irishman est à ranger tout près de Casino et des affranchis, les autres chef d’œuvres mafieux de scorcese.
Si De niro et Pacino sont énormes c'est peut être Joe Pesci qui tire le plus son épingle du jeu dans le rôle de Russel Bufalino, le parrain mafieux de la pensylvanie.
Bref c'est du vrai cinéma , à l'opposé de Marvel et disney et des séries Netflix ( qui est pourtant le producteur du film), avec une histoire, des dialogues , de vrais personnages et une vraie mise en scène.
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