Adapté du roman, réalisé par McNamara en super2k anamorphique avec un gros budget, c'est un échec dédié Vod\Vidéo. La fille du Roi commence par une légende du règne de Louis XIV, en laissant le personnage arriver dans la grandeur du royaume. L'intrigue se dévoile avec une créature étrange qui donnerait la vie éternelle au souverain. Les éléments se rassemblent au château avec une technique qui combine le moderne et l'ancien.
Les détails progressent en composant le récit, pour remonter le cours de l'aventure qui se relie à l’étrange légende. Les effets se développent autour de quelques personnages qui partagent l'art, en bousculant les coulisses de la cour du roi. Le faible budget compense avec des idées de contes fantastiques, qui accélèrent la fable dans des facilités prévisibles aux allures théâtrales.
Les événements plongent dans la romance, qui éveille les émotions de l'empire en opposant la science, la réalité et la créature. Le destin s’obscurcit dans un dédale qui avance vers le chemin d'un rituel de sacrifice de la créature. Les mécanismes se referment dans l’horreur, avec peu de développement à l'histoire, lors d'un terrible dénouement, pour cette œuvre au style série B qui offre un récit simpliste avec peu de personnages, mais agréable, malgré les nombreux défauts.
Entrées Salles Usa : env. 260.000.
> https://youtu.be/wzQx2Bu0lq0