The Last Black Man in San Francisco n'est rien de moins qu'un petit chef d'oeuvre. J'ajouterais que c'est pour moi le plus beau film jamais réalisé dans la ville du Golden Gate, mêlant réalisme magique et poésie d'une manière que je n'avais pas vue au cinéma depuis des années.
Mais au-delà de ces considérations, le film a tout bon sur de nombreux autres plans comme les acteurs, tous exceptionnels, les images, la bande originale, le scénario et sa construction dramatique.
Je préfère ne pas en dire plus, étant la toute première personne à le noter et à le critiquer sur senscritique, mais c'est le premier film de l'année pour moi qui vaut la peine d'être sur ma liste des meilleurs films de l'année.
Allez le voir, puis retournez-y.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Les meilleurs films de 2019
Créée
le 17 juin 2019
Critique lue 805 fois
5 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur The Last Black Man in San Francisco
Lorsque le film débute, notamment lors de ses dix premières minutes inaugurales, on sait que l’on va assister à quelque chose de visuellement très beau. Dès la première séquence, qui voit une petite...
Par
le 17 juil. 2019
6 j'aime
Un film sur San Francisco débordant d'un amour pudique mais intense, prix de la meilleure réalisation au festival de Sundance 2019. L'histoire est celle de Jimmy Fails (du verbe "échouer", c'est...
Par
le 16 août 2019
6 j'aime
4
The Last Black Man in San Francisco n'est rien de moins qu'un petit chef d'oeuvre. J'ajouterais que c'est pour moi le plus beau film jamais réalisé dans la ville du Golden Gate, mêlant réalisme...
Par
le 17 juin 2019
5 j'aime
1
Du même critique
Revisitant le monde des studios Hollywoodiens des années 50 qu'ils avaient peint dans Barton Fink, les frères Coen racontent avec Hail, Cesar l'histoire d'un producteur et patron de studio un peu...
Par
le 7 févr. 2016
20 j'aime
Le niveau zéro c'est créer en se croyant génial, sans aucune distance avec ce que l'on crée. J'ai eu cette impression des auteurs de la série en regardant B.H., tant la nullité extrême du scénario,...
Par
le 25 févr. 2016
14 j'aime
18
Plutôt que d'avoir peur des épouvantails cinématographiques récurrents dont on a l'habitude (monstres, cannibales, fantômes, ombres, boîtes à musique, curés, poupées machiavéliques, démons, enfants...
Par
le 24 févr. 2017
13 j'aime
1
