Dans un futur proche, le gouvernement américain prépare son ultime réponse au crime: l’utilisation d’un signal rendant impossible pour chacun de commettre le moindre acte illégal.
Pour détourner l’attention du peuple américain, le gouvernement met en place un nouveau système de cartes monétaires digitales rechargeables via des stations spécialisées. Graham Brick, un criminel professionnel, prépare un plan pour dévaliser l’une de ces stations avant de quitter le pays.
Mais il apprend ce que prépare le gouvernement et il ne lui reste plus qu’une semaine pour commettre son délit avant que le signal anti-criminalité ne soit mis en place.
Le cinéaste français sans imagination qu’on doit Taken 2 et 3,qu’il s’est vautré son film qui s’agit d’après l’oeuvre de Rick Remender et Greg Tocchini et produit par Netflix.
Les scènes d’actions et d’explosions sont filmées par les pieds,c’est bourré de faux raccords qui sont vraiment énormes,le scénario est grotesque et indigeste et les dialogues sont impardonnables.
Le pire,c’est les caméras dans les reflets ne sont pas camouflées et inutilement long,car je n’ai pas vu le temps passé.
Conclusion: The last days of american crime de Olivier Megaton est une adaptation extrêmement foireuse et en plus il essai de faire du Barry Lyndon mais sans le talent Stanley Kubrick.
2/10