J'attendais beaucoup du second film de Lanthimos tant Canine avait été une révélation. Toujours aussi cruel mais hélas moins bien rythmé, The Lobster constitue un excellent remède aux crises de monogamie, de dépendance affective, aux inscriptions hasardeuses sur sites de rencontres affinitaires et autres travers du sentiment amoureux. Bon, je ne suis toujours pas convaincue par Farrell (qu'on a affublé d'une moustache certainement pour ne pas être confondu avec le papier peint de sa chambre ni par Léa "Je suis partout" Seydoux qui est aussi crédible en rebelle des bois que moi en Léa Seydoux) mais pour le reste le film réserve d'excellents moments.
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le 13 nov. 2015
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