- En permission dans sa ville natale, le Sgt. Jake Carter apprend que sa sœur a été enlevée par des extrémistes. Il part seul dans une attaque lancée pour désamorcer le conflit. Il va découvrir que le chef du groupe prépare un attentat terroriste de plus grande ampleur. Carter va comprendre qu'il n'y a pas que sa sœur à sauver.
Pour ce film, la WWE a choisi un réalisateur qui a déjà travaillé avec ses Supertars et qui a déjà réussi un film bien bourrin qu'était Condamnés.
Cette fois la WWE tente un gros coup avec ce qui va être leur plus grosse franchise cinématographique, The Marine 3 : Homefront
Et comme d'habitude, la WWE met le budget qui va avec en proposant comme méchant, un acteur fortement habitué à ces rôles : Neal McDonough.
Scénario bateau et similaire aux opus précédents : un marine, un otage, plein d'explosions et des fusillades. The Miz doit libérer sa frangine des mains d’un terroriste qui veut faire péter une bombe. C'est pas folichon mais ça fera le taf. Vous voyez, ça correspond au cahier des charges de la saga.
Contrairement à Super Cena, The Miz ne va pas tomber dans le cliché du marine indestructible et va même galérer à sauver sa frangine. Bon, il ne faut pas se leurrer, il va réussir en détruisant tout sur son passage.
The Marine : Homefront est tout de même divertissant avec des explosions, des fusillades et des acteurs s'investissant assez pour nous faire passer un bon moment.
The Miz est arrivé à s'imposer à l'écran et il va tirer dans son expérience de catcheur pour rester convaincant devant la caméra.
Après John Cena et Ted Dibiase Jr. dans les premiers opus de The Marine, Mike "The Miz" Mizanin reprend la saga de la WWE et compte bien y rester.