Tête qui roule n'amasse pas mousse.

Un homme seul, Zack, marche sur la route, il n'y a pas un chat. On est en novembre 1990, il y a de la neige. Une voiture de police surgit. Le ton monte entre Zack et le policier sur le siège passager. Il finit par s'énerver car le policier veut l'arrêter et il use de ses pouvoirs exceptionnels. Les vitres explosent, un policier vole dans les airs mais son collègue assomme Zack, par derrière.

Zack est un mec qui se concentre intensément en fronçant les sourcils et en serrant des dents. Il rencontre le Docteur Michael Slovak qui lui explique qu'il étudie les phénomènes psychokinétiques et que son amie Rachel est dans son centre. Si Zack le rejoint, il pourra la voir. Évidemment, promesse non tenue et Zack décide, quelques mois plus tard, de retrouver Rachel et de s'enfuir avec elle.

Zack et Slovak finissent par s'affronter à coups de meubles. Le docteur se fait régulièrement des injections à base de moelle épinière de ses sujets pour obtenir et jouir de leur pouvoir.

Zack et Rachel finissent par s'enfuir en courant dans la neige et en volant la voiture à un gentil automobiliste qui passait par là, par hasard. Ils vont chez le père de Zack. Slovak le sait et envoie deux gars, Kurt et Travis, pour les récupérer. Évidemment, la tâche s'annonce ardue... beaucoup de sang va couler cette nuit.

Un film avec des cadavres un peu partout, des têtes qui explosent, des duels de regards avec des protagonistes qui font « beuuuuarhhhh mother f***er bwahhhhhhhh fils de la plage bweuuuuhwarrrgh », un docteur qui mute et des haches qui volent. Beaucoup de genoux ont été blessés pendant le tournage.

Un film à voir entre amis pour se marrer.