C’est en 2007 que Darabont signera ce qui est sa derniére réalisation à aujourd’hui. Une nouvelle fois, il rendra hommage à Stephen King en adaptant son roman court : Brume…
David Drayton est pére de famille. Lorsq’une tempête d’abat sur sa ville et brise une de ses vitres, il se rend au supermarché du coin avec son fils pour acheter de quoi réparer. Mais une brume s’abat sur la ville et semble cacher des créatures meurtriéres…
Si The Mist est d’emblée une réussite, c’est parceque Darabont a compris l’essentiel de l’oeuvre de King et a décidé de la détourner quand il en a besoin pour livrer une oeuvre proche, mais pas 100% fidéle. Le huis-clos est là, les personnages sont là et, essentiellement, les événements aussi. Mais quand le réalisateur sent une faiblese, il sait modifier ce qu’il faut pour trouver une force. Ainsi, la série B sans profondeur que l’on aurait pu vir devient un film d’horreur plus ample, trainant ses guêtre du côté du fantastique, et livrant un final d’une noirceur folle, d’un désespoir fou.
Et il fallait bien ça pour que Darabont prouve une fois de plus qu’il est un réalisateur talentueux, au délà d’être un bon « adaptateur’ d’histoire. parceque son casting, tout comme sa mise en scéne, sont parfaitement réussit et mettent en avant tout ce qu’il veut montrer. Brume est un film qui rappelle que l’horreur et le fantastique ne sont pas que des divertissements ado mais bel et bien des genres qui parlent de l’humanité. Et il est une réussite !