Monument de branlette intellectuelle
Il est établi que les amateurs d'art contemporain sont en général - le reste n'est constitué que de parfaits idiots et de suiveurs de mouvement - d'infâmes et hypocrites cuistres qui affectent la pâmoison devant des tas de détritus.
Il est également établi, pour celui qui a des yeux pour voir, que les prétendus artistes qui commettent (impunément hélas) ces prétendues œuvres sont ou bien des fieffés escrocs, ou des imbéciles heureux qui imitent ceux de la première catégorie.
L'équivalent cinématographique de cet art qui n'en est pas un est ce genre de film : je conjecture que cette fiente a été réalisée (le mot est fort) par une crapule sénile et que tous ceux qui l'admirent sont des nigauds ou des fats.
Ainsi, toi qui me lis et qui as aimé ce film (je te tutoie car tu es un gueux, de par tes goûts de merde) tu es un pauvre crétin que l'on a dupé en flattant sa vanité. Je voulais savoir, pendant que tu es là : quel effet ça fait d'être une merde ?
Bien, passons au film, mais brièvement parce ça ne mérite pas qu'on s'y attarde.
Un salmigondis d'images incohérent, un galimatias visuel prétentieux avec des voix off soporifiques par-dessus.
C'est tout, la messe est dite.
Je ne vois pas ce que je pourrais dire de plus, à part que je préfère regarder n'importe quelle merde hollywoodienne, que 46 minutes devant ce truc c'est 46 minutes qu'on aurait pu passer à jouer au démineur windows (et on y aurait gagné au change).
Pour ceux qui réclament une analyse plus poussée et plus en profondeur de ce film qui n'en mérite pas le nom, prière de s'adresser à un spéléologue de la crotte.
The Old Place justifie totalement, voire rend nécessaires et légitimes, les initiatives à la Pol Pot.
Oui, les gens qui produisent, réalisent ce genre de triste fumisterie, jusqu'aux personnes qui les trouvent agréables (ou plutôt qui feignent de les trouver agréables, ceux qui les trouvent véritablement agréables ont leur place dans des hôpitaux psychiatriques), méritent une mort vulgaire et pénible : ligotés dans la boue, un sac plastique sur la tête, livrés à l'appétit des porcs.