The Presence par Marc Poteaux
Mira Sorvino, elle est jolie ; ça, c'est la seule info dont je me souviens. Et heureusement qu'elle est jolie d'ailleurs, parce qu'elle joue dans des belles grosses bouses des familles. Tenez, ici, elle joue une pauvre fille qui va s'enterrer dans une bicoque dans les bois. Sauf que dans cette bicoque, il y a un fantôme inexpressif. Mais c'est parce qu'il a bobo dans son petit coeur. Et il y en a un autre qui chuchotte tout le temps, et lui, il est vilain. Alors quand le copain de la fille arrive et qu'il se passe plein de trucs flippants (des portes qui claquent, des oiseaux qui tombent, l'annonce d'un nouveau disque de Patrick Fiori), et ben... On sait qu'on peut arrêter le film et s'ouvrir un cacolac. Pour ceux qui auraient toujours envie de voir ce film, je vais quand même vous mettre en garde : non seulement il ne se passe pas grand-chose, mais en plus ça n'est pas très bien joué, et la mise en scène est convenue au possible. Ah, et puis on va même pas un bout d'épaule de mira, non plus. Pas grand intérêt donc...