Le Cirque de Hong-Kong
En y repensant quelques heures après la vision de The Prodigal Son, le film de Sammo Hung représente l'archétype d'un certain cinéma de Hong-Kong, celui mêlant les arts-martiaux, parfois...
le 8 juil. 2017
15 j'aime
The Prodigal Son est une comédie dramatique d’action qui revêt les habits d’un film d’apprentissage martial se muant en film de vengeance. La dimension qui s’en dégage se veut récréative. Les qualités qui s’affichent rendent l’ensemble séduisant. L’humour fonctionne. Les arts-martiaux fulminent. Le concept prend sens au milieu de ce parcours initiatique par le biais des arts-martiaux comme parcours de vie (un fils de bonne famille s’affranchissant de sa condition et devenant par ailleurs un homme à part entière). Avec un rythme qui se maintient tout du long, The Prodigal Son conserve un équilibre dans le mélange des genres. L’œuvre est à la fois folle, extrême et riche. Un classique parmi les classiques à la maestria sobre et décomplexée.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2015/07/10/the-prodigal-son-1981-sammo-hung-avis-review/)
Créée
le 30 oct. 2015
Critique lue 613 fois
7 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur The Prodigal Son
En y repensant quelques heures après la vision de The Prodigal Son, le film de Sammo Hung représente l'archétype d'un certain cinéma de Hong-Kong, celui mêlant les arts-martiaux, parfois...
le 8 juil. 2017
15 j'aime
The prodigal son baigne dans une sincérité évidente, celle d’un cinéaste qui ne badine jamais avec son art dès lors qu'il est question de mettre en scène le spectaculaire. Quand la tatane corrige,...
Par
le 15 janv. 2016
11 j'aime
5
Prodigal Son est profondément marqué par la personnalité de son réalisateur, Sammo Hun, généralement plus reconnu pour sa bonhommie que pour son travail d'auteur. L'histoire Est celle d'un fils de...
le 16 mai 2010
10 j'aime
Du même critique
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
The Murderer commence dans le Yanji, ce début de film est d’un aspect quasi documentaire, Na Hong-jin nous montre une région aux immeubles vétustes et sinistres. Il y a une misère palpable qui...
Par
le 11 févr. 2013
31 j'aime
2
Kim Jee-woon réalise une pépite de style. La réalisation a du style comme son personnage principal (Lee Byung-hun). Tout y est stylé, les plans, les costumes taillés, la belle gueule du héro...
Par
le 28 mai 2013
31 j'aime