Grand prix du Festival de Deauville 2017, The Rider est le portrait d’une famille vivant du rodéo.
Tous les personnages que l’on va croiser lors de cette terrible histoire sont tous marquer par ce sport qui pour eux est leur seul moyen de vivre.
Nous sommes donc plongés dans la dure réalité de ce milieu. Le film ne nous épargne pas les scènes douloureuses. En effet, le métier de rodéo est dur et les blessures fréquentes.
Voir même parfois irréversibles, à l’image de son ami devenu tétraplégique et handicape mental suite à un accident terrible.
Même le personnage principal est blessé à vie, mais considère sa blessure minime et va tout faire pour continuer à faire du rodéo.
Parce que, c’est sa seule raison de vivre dans ce milieu désertique, avec que le sable comme paysage. Mis à part le rodéo, il est condamne à être caissier au supermarché du coin. Donc peu glorieux, surtout que sa gloire d’antan ressurgit avec des jeunes voulant des autographes.
Il ne peut oublier sa vie d’avant. La sœur de ce personnage est juste, atteinte du syndrome d’Asperger. Elle a le don de rassurer son frère, a le mot juste ! Et la voix douce.
Un film dur et réaliste, dans lequel je ne suis pas spécialement rentré dedans ; surtout à cause du milieu et des messages du film, auquel je suis peu sensible.
Un film à voir assurément !