Bon voilà, j'ai un petit faible pour les road movies. Les routes qui s'étendent à l'infini dans les étendues désertiques nord-américaines. Les rencontres, agréables ou désagréables, au long du chemin. Des étapes courtes et d'autres plus longues. Les adieux. The Short History of the Long Road n'apporte pas grand-chose de nouveau au genre, mais il compose bien avec ses codes. C'est esthétique. C'est attachant. Sabrina Carpenter est excellente dans son rôle. L'écriture emprunte aussi au genre coming-of-age en ce concentrant sur la recherche d'identité de Nola livrée à elle-même. Bref, pas grand-chose à redire au final, c'est bien mené.