Rien que pour la bande-originale du formidable Trent Reznor, il faut absolument aller voir ce film. Une musique qui colle parfaitement à l'ambiance.

La scène de la descente des étudiantes de Harvard dans la maison de la fraternité des Phoenix compilé à la création des nerd que sont Mark et ses potes sur le titre "In Motion" est aussi jouissive que celle de Donnie Darko lorsque la caméra fait son entrée dans le lycée sur fond de Tears for fears.

Magique.
LouisLepron
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste

Créée

le 29 oct. 2010

Critique lue 283 fois

2 j'aime

LouisLepron

Écrit par

Critique lue 283 fois

2

D'autres avis sur The Social Network

The Social Network
Sergent_Pepper
9

Around the crowd in a day.

Alors que Fincher optait dans Zodiac pour la distance et l’atonie comme remède à l’hystérie souhaitée par un psychopathe, le sujet qu’il aborde dans The Social Network va impliquer un changement de...

le 28 déc. 2014

117 j'aime

5

The Social Network
Torpenn
5

Fincher et les malheurs du trou du cul...

Le héros de ce film est un trou du cul, ce n'est pas moi qui le dit mais sa copine qui le largue au début du film dans une scène très pénible qui a pour seul intérêt la confirmation du postulat sus...

le 1 nov. 2010

100 j'aime

338

Du même critique

Shining
LouisLepron
10

Critique de Shining par LouisLepron

Je pense avoir vu Shining dans les conditions les plus optimales qui puissent exister pour un film de ce calibre et de cette intensité. Imaginez vous dans une grande maison, en plein mois de...

le 15 oct. 2010

17 j'aime

L'Abominable Vérité
LouisLepron
1

Critique de L'Abominable Vérité par LouisLepron

La vérité, qu'elle soit abominable ou non, est très dure pour ce film : c'est une belle merde. Non tant que l'actrice que l'on a déjà vu dans Grey's Anatomy puis dans En cloque mode d'emploi soit...

le 27 sept. 2010

8 j'aime

Des souris et des hommes
LouisLepron
8

Critique de Des souris et des hommes par LouisLepron

Une histoire simple mais pas simpliste autour de George le petit et Lennie le grand. Comme disait Joseph Kessel sur ce livre, on n'a pas besoin que Steinbeck nous fasse une description longue et...

le 30 sept. 2010

6 j'aime