The Sound of Silence.

Kelly Johansen est une écrivaine qui ne croit pas aux fantômes. Pour résumer, ce sont les infrasons qui, selon elle, créent des hallucinations qui nous font voir des fantômes. Un jour, elle reçoit un message qui lui explique qu’une station de métro à Toronto serait hantée par le fantôme d’une femme qui s’y serait suicidée ou qui aurait été poussée sur les rails, dans les années 1960. Celle que l’on surnomme « la femme en rouge ». Ni une ni deux, pas l’temps de niaiser, elle prend le premier avion et s’y rend dans l’optique, une nouvelle fois, de prouver que les fantômes n’existent pas. Evidemment, ça ne sera pas si simple.

Quand le générique de fin a commencé, un grand « meh ?!? » a envahi mon esprit. J’étais un tantinet pantois et pas loin du « tout ça pour ça » fatal à tout film. L’ambiance anxiogène est là la plupart du temps, dans cette station abandonnée où notre héroïne est livrée à elle-même, tentant de prouver que sa théorie est la bonne. Puis, Christopher Lloyd quoi ! C’est toujours un bonheur de le voir dans un film, toujours aussi charismatique. Il pourrait me réciter le dictionnaire et me captiver aisément !

Il y a malgré tout de bonnes idées, quelques scènes assez intéressantes (avec Christopher Lloyd), mais des longueurs qui donnent l’impression d’étaler le propos au maximum alors qu’il n’y en a pas vraiment besoin… Il en ressort donc un film moyen qui n’est pas déplaisant mais qui n’est pas mieux que ça.