The sweet east traine en longueur pour ne rien raconté dirons certain mais c'est normal c'est road trip movie diront d'autre. le personnage principale dans sa errance rencontre des gauchistes avec plusieur prince albert , des suprématistes blancs dont elle se sert , des artistes bizarres , un camp d'une secte religieuse gay et des moines .
le film commence bien les 30 premieres minutes sont droles , les 30 suivantes passes trop lentement , et le final est captivant meme si j'ai failli arreter avant qu'elle rencontre la secte .
l'auteur montre l'amérique comme il l'imagine je vois le propos mais est ce que montré suffit montré sans dénoncé est il suffisant pour faire un film marquant ? je pense pas ce film ne m'a pas marqué je le regarderait surement pas de nouveau mais il y avait un truc j'espère qu'il trouveras son public.