Une lettre. Oh, ça a l'air triste.
Une planète.
Une éruption.
Des dinosaures.
Regard mutuel avec ma moitié, léger sourire. On s'est compris.
En tant que chef de la famille Moustache, Fleur va devoir représenter son clan suricate...ah non, ça c'est quand j'ai fait une pause. Dommage, c'était intéressant.
Tiens, Sean Penn. Ah non, ça devait être une image subliminale.
Des bribes d'interactions humaines. Brad Pitt serre les dents, il a l'air énervé dis donc.
Jolie plage.
Ah ben si c'était bien Sean Penn, je me disais aussi !
"The Tree of Life", c'est donc:
Une Jessica, plus rousse que Chastain, qui tourne en rond, littéralement. "La vie est belle, je vais faire des ronds, tiens".
Un Pitt qui brade sa sympathie habituelle au profit d'une autorité sensée faire ressortir le meilleur de ses progénitures. "Je te mets des tartes et t'enferme dans le placard, mais c'est pour ton bien. Un jour tu comprendras...ou alors tu me considèreras à jamais comme un père tyrannique, va savoir."
Une histoire de deuil. La vie, la mort, toussa.
Le film a donc bel et bien un semblant d'histoire. Mais pas de narration, pas de fil conducteur. Comment s'attacher dans ces circonstances, comment éprouver quelque chose ? Certains y arrivent, moi pas. A plus forte raison quand on a une voix off constante, et un message pseudo religieux pas très fin.
Mon premier Malick. Un 3, c'est la vie, mais c'est mal parti. Better luck next time.