Un film (anglophone) original sur le deuil d’un enfant et la folie. Un peu dommage que le cinéaste ait mis trop de scènes oniriques (avec l’introduction du personnage d’Helen) qui égarent le spectateur, même si les scènes païennes sont réussies, ainsi que des scènes, malhonnêtes [comme dans « Knocking » (2021) de Frida Kempff], où apparait Elliot (jumeau de Nathan, mort dans un accident de voiture) sans la présence de sa mère, Rachel Doyle (l’Australienne Teresa PALMER), photographe américaine, qui a quitté New York, après l’accident, pour un village finlandais (sans église) où son mari, Anthony, écrivain (à la machine à écrire) a passé son enfance.