Le 14 octobre 1997, au 166 Briar Road, l'adjoint du Shérif arrive et inspecte les lieux. Nous sommes devant une maison isolée, en pleine forêt (rien de bien original en somme). Il ne semble pas très rassuré et, malgré tous les signes qui montrent qu'il devrait plutôt songer à fuir, il se montre professionnel jusqu'au bout. Après avoir appelé des renforts, il se dirige vers la maison, avec son flingue et sa lampe torche...
La pendule de l'entrée s'est arrêtée sur midi, il y a du sang sur les vitres, et la porte se ferme toute seule, tout à coup, PAF ! Plus aucune trace de la famille qui vivait là. Seule la femme de ménage, terrorisée, est sur les lieux... Il se passe des choses plutôt effrayantes dans cette maison.
On se retrouve ensuite 17 ans plus tard. Une femme emménage avec son enfant de 9 ans qui a un regard étrange. Il s'appelle Adrian. Il n'a pas parlé depuis que son père est décédé, il y a deux ans de cela. Il y a un ouvrier assez bizarre, Monsieur Walker. Le genre de types qu'on n'aimerait pas croiser dans un hangar désaffecté un 8 janvier à 4 heures du matin.
Angela, dont le père est en rade de boulot, accepte de devenir la nounou du petit garçon. Évidemment, des choses terrifiantes vont finir par arriver (c'est une maison hantée après tout). Il y a également une histoire avec l'amie d'Angela, Pandy (Panda... #désolé), et ses connaissances pas très recommandables qui ont un intérêt pour cette maison. Vous découvrirez lequel si le courage vous prend de regarder ce film.
Alors, j'aime bien le début, puis quelques scènes assez oppressantes qui réveillent de temps en temps, mais ce film manque d'intérêt et d'originalité. Une maison au milieu de la forêt dans laquelle il se passe des choses étranges, des morts et des objets qui volent. La révélation finale est assez moyenne. La dernière scène fait un peu sourire. Tout n'est pas à jeter mais ça ne mérite pas plus que la moyenne.