Néanmoins, le traitement du deuil, sujet du film, est facilement réglé et sans trop de subtilité. Si seulement nos souffrances pouvaient se résoudre en marchant le long d'un couloir jusqu'à sa résolution, et ce, en une nuit, un grand nombre d'entre nous postuleraient pour être Shomers.
Bien que la musique soit de bonne facture, je trouve que le réalisateur aurait pu s'en abstenir lors des moments de tensions. Elle transforme l'angoisse en crispation.
L'utilisation du smartphone fait un peu tache dans une ambiance générale plus austère, traditionnelle ... orthodoxe.
Néanmoins, soulignons l'absence de jump scare, de décisions stupides de la part de notre héros et d'un second personnage touchant.