Quand on commence a tuer on arrête jamais de tuer

Il lui fallait un nom au retour de la vengeresse à la "lady vengeance" de park chan wook, mélangé avec une scène formidable du couloir dans old boy. Du déjà vue dans ce film de Byeong-Gil Jeong? oui et non, les premiers instants ont des vraisemblances de beaucoup de films d'action, mais les images plan-séquence premières personnes, permettent une attraction dès les premières secondes du film.
C'est une tueuse qui ne perd pas de temps, qui s'engage et est résistante. Premières happa des services secrets ou des tueurs? De quelle côtées se situer-t-elle? Elle se fait laver le cerveau des deux côtées en tout cas et nous aussi.

Faux omniscient, et faux gentils. On nous emmène les confins des mortels films coréens, trash et intelligent. On se fout de la tête du drama, et a nos envois du lourd avec des courses-poursuites avec bouteille d'eau sur l'accélérateur. Du n'importe quoi bien filmé en tout cas. Un beau n'importe quoi.
Qui nous félicite de ne pas voir les 2h des films passés plus vite que prévu et de ne pas être fatigué vue qu'il n'y a pratiquement pas de longueur, juste quelques détails de flash back mal interpréter, mais on comprend la finalité qui est en fait une boucle, qui n'en finit plus. Quand on commence à tuer on n'arrête jamais de tuer, je pense que ses films à ce côtées kill bill coréen, qui nous emmène dans une ambiance plus darke que les films comico décalé de Tarantino.

Ce film hors compétitions à cannes et le prix du jury du festival de l'étrange de Strasbourg en 2017 sort du lot malgré des notes moyenne dans les sondages.