MAYDAY,MAYDAY,MAYDAY !
Ceci est une prise d'otage émotionnelle, je répète, ceci est une prise d'otage !
Et pour ce faire, Darren n'hésite pas à sortir tout l'attirail larmoyant : zooms incessants sur des visages meurtris, musiques insistantes, cris et pleurs constants.
Le tout en subtilité, bien évidemment. Et que dire du surjeu constant ?
Tout suinte le dolorisme, car Aronofsky est dans une quête dérangée d'une douleur Ultime, et tous les coups sont permis pour y accéder !
Merci à Darren pour le plus gros fou rire de l'année devant la Sainte scène finale. Ce fut grandisooooooose !