Inspiré d'un fait réel, réécrit et réalisé par Bulkley en numérique sphérique panavision avec un budget minuscule, dédié vidéo. Le tueur du zodiaque commence par une scène-choc qui lance l'enquête d'un criminel avec les personnages. Dans l’Amérique des années 60, le récit se concentre sur une ambiance réelle au rythme lent, avec la froideur d'une exécution macabre.
Les réactions face aux difficultés de l'époque pour identifier le coupable tournent autour d'une affaire qui semble banale, en replongeant dans l'horreur. La lenteur extrême des détails suggère une immersion qui se transforme en une guerre du tueur contre les médias et les policiers. L'affrontement machiavélique dresse des théories abominables en dévorant le rite et les recherches. L'enquête progresse inexorablement dans l'enfer d'un détraqué, lors d'un dénouement énigmatique, pour cette œuvre classique sur la complexité du temps pour retrouver un monstre humain, mais traitée avec la réflexion d'un divertissement effrayant.
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le 22 juin 2024
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