If perfection had a name...
Ce petit texte n'est pas vraiment une critique, mais plutôt une déclaration d'amour. Non, je ne vais pas déclarer ma flamme à Benidict Cumberbatch, bien qu'il soit excessivement talentueux, je le laisse à son groupe de fan girls.
Ce n'est pas de lui que je suis tombée amoureuse, mais de ce film : Third Star. La découverte de ce chef d’œuvre a été une véritable claque, une superbe rencontre cinématographique. J'ai été sincèrement émue par ce film, et ce à ma plus grande surprise. Moi, l'insensible, moi, la sociopathe dénuée de sentiments, moi, la fille froide et sans compassion, j'ai versé ma petite larme. Bouleversée par la sincérité d'un film, par la justesse des acteurs, par la puissance presque surnaturelle des paysages, démunie face à ce petit bijoux méconnue.
Car oui, ce film passe totalement inaperçue alors qu'il mériterait une ovation générale. Quelle honte, que de ne pas le rendre accessible à l'échelle internationale. L'on préfère sûrement exporté des blockbusters sans saveur, animé par des mannequins testostéronés ( 50 nuances de Grey bonjour!).
Mais même si vous n'êtes pas bilingues, et que vous ne connaissez rien à la langue de Shakespeare, ne prenez pas la fuite. Laissez vous bercer par la douce mélodie qui vous est offerte, laissez vous entraîner par le talent des acteurs, laissez vous bercer et abandonnez vous à ce que l'on pourrait aisément qualifié comme étant l'un des plus grands chefs d’œuvre du septième art !
( Attention: le visionnage de ce film entraînera des répercussions sur la totalité de votre existence et accaparera votre esprit pendant plusieurs mois)