Grave, il y a 5 ans, a provoqué un renouveau du cinéma de genre en France. De par sa vision féministe du genre, Julia Ducournau parvient à reprendre ses inspirations pour inspirer à ses longs-métrages une identité qui lui est propre. Par contre, malgré ma passion immense pour son premier film qui, à l’époque, était parvenu à susciter ma passion pour le cinéma de genre fantastique et y compris pour David Cronenberg, j’avais des doutes sur Titane. En effet, là où l’idée de découvrir un nouveau film de la réalisatrice était galvanisante durant ces longues années, la première bande-annonce m’intriguait dans les divers sens du terme. D’un côté, les visuels me paraissaient parfaitement travaillés mais de l’autre, je n’arrivais pas à comprendre comment tous ces plans allaient se relier habilement dans un long-métrage de 105 minutes. J’y suis allé en trépignant, sans pour autant être convaincu.
Critique en intégralité : https://cestquoilecinema.fr/critique-titane-lamour-dans-la-demence-sentimentale/