Plus le temps passe et moins je m’intéresse à la franchise Transformers. Le 1er m’avait beaucoup plu, le 2ème beaucoup moins, le 3ème m’avait scotché à mon siège et je m’étais empressé de l’acheter ensuite en Blu-Ray mais pourtant j’avais un peu laissé tombé la saga à ce moment là. Il faut dire que Michael Bay avait mis la barre tellement haut avec le 3ème opus que le reste allait paraître bien fade. Et puis la promotion était moins forte.
Pourtant j’ai vu chaque suite et je n’ai pas à me plaindre d’elles. Mark Whalberg a su bien s’intégrer dans cet univers après le départ de Shia Labeouf et le ton est resté à peu près le même.
Malgré tout, je n’ai pas retrouvé ce qui faisait le sel de cette franchise. Le petit truc qui rendait le tout absolument dingue.
Techniquement, il n’y a rien à redire : ce Transformers est à nouveau impressionnant, les moyens tant financiers que technologiques sont là et ça se voit à l’écran. J’ai pris aussi un peu de plaisir à voir toutes ces explosions et ces scènes d’action. La musique rend tout ça encore un peu plus épique. Et puis comment oublier ces acteurs dont Anthony Hopkins (excusez du peu) ?
Cependant, malgré le fait qu’objectivement ce soit du vrai cinéma pop-corn (avec les défauts qui vont avec bien sûr), je n’arrive plus à vibrer devant cette franchise. Peut-être justement parce que mes attentes sont moins fortes donc je ne suis pas dans une configuration avant de le voir où je me dis que je vais vibrer.
Je ne sais pas. Toujours est-il que je m’immerge beaucoup moins qu’avant dans cette franchise dont le point d’orgue reste encore le 3ème opus.