Cest drôle de voir Tristana après Pauvres créatures. Il s’agit encore de la femme comme un territoire à posséder, gagner, garder. Garder par les liens du Père puis du mariage, même s’il est incestueux puis de l’amant qui lui aussi veut la garder. L’intrigue m’évoque un peu le pièces de Molière avec cette triangulation relationnel sous l’œil complice mais aidant de la servante
Créée
le 19 janv. 2024
Critique lue 9 fois
D'autres avis sur Tristana
C’est la « quintessence du cinéma de Buñuel » selon le New York Times de l’époque. En 1970, Buñuel revient en Espagne, à peine dix ans après avoir subi les foudres du régime franquiste pour...
Par
le 30 avr. 2015
12 j'aime
Marquant le retour de Buñuel en Espagne après le violent scandale de Viridiana qui aboutit à la saisie des copies du film, Tristana semble au départ raconter une histoire similaire, celle d’une jeune...
le 16 févr. 2021
9 j'aime
avril 2010: Un peu navré de découvrir que le dvd Studio Canal n'a qu'une piste audio française à offrir, on se lance tout de même dans le bain tolédan. Et de rencontrer un personnages des plus...
Par
le 6 avr. 2013
9 j'aime
1
Du même critique
Très chouette prequel, qui résume bien l’orgueil de l’être humain alors qu’il est pétri de faiblesses
Par
le 1 sept. 2024
1 j'aime
Parfait dans l’esthétique, les combats, la démesure et le scénario
Par
le 20 août 2024
1 j'aime
Les trois heures filent! Happée par le plan de vengeance et ses rouages , un vrai plaisir!
Par
le 18 juil. 2024
1 j'aime
