Sous ses faux airs de ballet, les destins se croisent et les âmes se rencontrent. La leçon est peut-être classique, mais la manière est superbe : le nihilisme provocateur cache presque toujours une souffrance désespérée et l'amour vient panser les plaies.
Irène Jacob et Jean-Louis Trintignant sont exquis.
Créée
le 3 janv. 2024
Critique lue 16 fois
D'autres avis sur Trois couleurs : Rouge
Krzysztof Kieslowski réalisa son dernier film en 1994 peu avant sa mort. Mais rien ne laisse paraître de l’état de santé du réalisateur dans son ultime chef d’œuvre, synthèse de son oeuvre, hymne à...
Par
le 6 déc. 2014
18 j'aime
1
Kieslowski conclut brillamment la pièce maîtresse de sa filmographie, la Trilogie des 3 couleurs, avec ce "Rouge" qui semble ajouter un cœur qui bat au sein d'une construction brillante mais...
Par
le 24 févr. 2015
17 j'aime
Valentine (Irène Jacob), jeune mannequin, ramène une chienne qu'elle a blessé à son propriétaire Joseph Kern (Jean-Louis Trintignant). Une relation étrange s'installe entre eux...Après le très beau...
Par
le 24 mai 2024
11 j'aime
12
Du même critique
...marqué par une image d'enfance."Court métrage expérimental. Ovni poétique. Chef d’œuvre.
Par
le 3 janv. 2024
Exploration métaphysique et burlesque, hommage au genre L.A. noir et ses réalisateurs, dense, né de la rencontre (entre autre) d'Eyes Wide Shut et de Lost Highway. Nihiliste et frustrant, fort d'une...
Par
le 3 janv. 2024
Dialectique subtile (non) entre la maman et la putain. Dommage, car la langue d'Aurevilly est belle, Fu'ad Aït Aattou est juste et les scènes de nus sont parfaitement baroques.
Par
le 3 janv. 2024
