La mise en scène est très inventive.
Quand Volodia met la carte du valet sur celle de la dame, face contre face, on comprend implicitement ce qu'aujourd'hui les metteurs en scène se sentent obliger de filmer explicitement [34'06]. De même, l'aveu de leur relation au mari est elliptique (la phrase de Volodia reste en suspens) alors qu'elle ferait aujourd'hui l'objet de longs dialogues [44'29].
Le trio éclate car la femme part, mais les deux hommes restent ensemble...
Les amateurs de détails filmiques remarqueront les aisselles non épilées de Lyudmila Semyonova [04'06].
La musique, rajoutée après coup, n'apporte rien bien au contraire.