Vous avez aimé "Vahsi Kan (Turkish Rambo)" ? Vous aller adorez "Korkusuz" ."Turkish Rambo 2" est donc la seconde incursion du metteur en scène Çetin Inanç dans le pays joyeux du monstre gentil de John Rambo . Après une première tentative mémorable en 1983 , Inanç règle le problème de l'acteur magnétique Cüneyt Arkin . Ben oui , Arkin ressemblait autant à Stallone qu’il ressemblait à Richard Gere ... Alors , Inanç s'est dit que pour une fois , il va faire les choses en grand . Et c'est le responsable du casting , parcourant alors la Turquie d’Istanbul à Erzurum pour trouver "The Phenomenon" : Un bodybuilder répondant au nom de Serdar Kebapçilar (02/02/58-25/03/24) et qui mettrait facilement dans la sciure un Stallone et Schwarzenegger réunis. Et comme tout bon de film d'action qui se veut , il fallait un méchant . Et quel méchant : il volerait presque la vedette à notre culturiste avec son regard de braise dont aucune femme ne résisterait : il s'agit de l'acteur Hüseyin Peyda (déjà présent dans "Vahsi Kan (Turkish Rambo) qui joué le rôle .. ben du méchant (vous suivez pas là) ... Oui , mais pas le même puis qu'il meurt dans celui de 1983 . Mais il meurt aussi dans celui de 1986 . Et comme dans "Vahsi Kan" , il y a une belle femme qui tape aussitôt dans l'œil de notre héros et qui connaitra le même sort que l'actrice de 1983 . L'intrigue de ce film (comme dans tout les films de Inanç) ferait passer un "Personna" pour une bonne (ou moyennasse) vieille série B (la c'est les fans de Bergmann qui si ils le pouvaient m'étriperai pour ça) . Dans une dès séquence , on voit le méchant ou ses miliciens de campagne torturer et de viol (approximatif ) la petite amie de notre héros qui se retrouve enterré dans la boue sous une pluie diluvienne ( on y voit des tétons mouillé sous le chemisier de la pauvre femme torturer) . Des dialogues dignes au séquences accompagnées dans ces natures sauvages au "Septième Sceau" (là , je cherche les emmerdes) . Des séquences d'anthologie , il en refourgue à ce film (un long lancée de couteau qui atterri sur le front d'un crâne d'un méchant , la prémisse du "bullet time" de Matrix :-] -franchement , je les cherches les emmerdes-) mais le meilleur séquence arrive à la scène final : un lance-roquettes qui fait le même bruit qu’une bouteille de Champ .
Et je ne vous parle même pas de la version doublé en anglais (faites en 2009 du à une réédition) qui vaut son pesant de ... Loukoum .
Ce film c'est pas du Rohmer (de son prénom Éric) , pas plus que du Fassbinder (pas l'acteur anglais mais le feu réalisateur) , non , c'est un milliard de fois mieux que ça (là c'est sur , j'ai signé mon arrêt de mort avec de telles déclarations)