La Galice jusqu'à l'hallali
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Deux intrigues coulent en parallèle dans Ueru tamashii (Hungry Soul, en anglais). L'une concerne une femme d'une petite trentaine d'années que son mari, âgé de 23 ans de plus, considère comme une sorte de femme trophée, lors de ses nombreux voyages d'affaires ; l'autre, veuve dans la force de l'âge, élève deux adolescents, en se projetant dans un nouveau projet de travail. Les deux, convoitées par des hommes de leur âge, hésitent avant de s'engager dans une liaison qui serait mal vue dans la société traditionnelle et patriarcale japonaise. Il flotte sur ce mélodrame finement ciselé par Yûzô Kawashima comme un parfum de Douglas Sirk. Belles interprétations féminines, notamment de Yoko Minamida dans un film dont on ne sait s'il versera dans le romantisme ou dans un cruel réalisme, pour sa deuxième partie.
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Créée
le 24 juin 2023
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