Rien de pire qu’une gueule de bois à l’irish coffee »
Jim Douglas enchaîne les défaites jusqu’à ce qu’il tombe sur une Volkswagen Coccinelle, une voiture vivante.
J’ai enfin trouvé une solution à mon désintérêt pour les voitures, il suffit d’y insuffler de la magie, renforcée par l’aspect fantastique d’Herbie. Ce métrage a fait de ce modèle une véritable vedette. Le célèbre anthropomorphisme disneyen ne se porte pas comme à l’accoutumée sur des animaux, mais sur une automobile. L’une des scènes finales où le copilote est substitué par un ours est fortement cocasse. David Tomlinson sublime élégamment l’antagoniste toujours à accomplir des fourberies.