Merveilleusement nostalgique, un été 42, a jamais identifiable par cette musique de Michel Legrand (Oscar), est un film d'une délicatesse rare et plutôt juste sur l’adolescence de garçons qui vont et viennent au bruit de ces vagues à ressasser et à essayer de comprendre comment on séduit les filles.
Ici, Robert Mulligan réussit totalement à en faire un film sur la jeunesse perdue, et finalement du passage d’un individu de l’enfance à l’âge adulte.
L'atmosphère y est très bien rendue avec une très belle photographie et ses plages infinies. La beauté de Jennifer O Neill participe également a ce chef d'oeuvre
Un grand film.