Crossed in space.
Le grand trip esthétique de Cannes n’était – étonnamment – pas en Compétition Officielle, mais dans la section Un Certain Regard. Après Kaili Blues, le chinois Bi Gan poursuit ses explorations de la...
le 30 janv. 2019
87 j'aime
7
Critiques
Le grand trip esthétique de Cannes n’était – étonnamment – pas en Compétition Officielle, mais dans la section Un Certain Regard. Après Kaili Blues, le chinois Bi Gan poursuit ses explorations de la...
le 30 janv. 2019
87 j'aime
7
Avec son dernier trip onirique, le cinéaste chinois ne fait que fortifier la magnifique réputation qui le précède : celle de devenir prochainement l’un des meilleurs réalisateurs chinois de son...
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le 25 janv. 2019
54 j'aime
J'ai finalement réussi à ce voir ce film à la dernière séance, j'ai cru que je l'avais raté... je l'ai vu en 2D malheureusement, mais malgré tout, quelle claque ! En fait je dois dire que je n'ai pas...
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le 25 févr. 2019
35 j'aime
6
C'est une invitation à tout ce que peut offrir le cinéma en terme d'expérience sensorielle et onirique que propose Bi Gan avec Un Grand Voyage vers la Nuit, dans la lignée et l'inspiration de Wong...
le 21 juil. 2020
29 j'aime
6
Un homme a aimé une femme, autrefois. Ils se sont quittés, ou peut-être est-elle partie, ou peut-être est-ce lui qui a fui, puis revenant aujourd’hui dans sa ville natale pour la retrouver, mais...
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le 6 févr. 2019
25 j'aime
C'est toujours frustrant de voir un film avec de grandes possibilités gâchées par plein de petites choses. Et en l'état, même s'il est rare que je me livre à l'exercice de la chronique négative, je...
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le 21 févr. 2019
23 j'aime
6
Au milieu d'Un grand voyage vers la nuit, le héros s'assoit dans un cinéma et chausse ses lunettes. C'est le signal que le film passe soudain en 3D avec un plan-séquence qui va durer pas moins d'une...
le 7 juil. 2018
11 j'aime
Il est clair pour moi que les Cahiers (mais pas qu’eux bien sûr) se sont mis les doigts dans les yeux en considérant avec autant de froideur le dernier film de Bi Gan et en le plaçant le cinéaste...
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le 25 févr. 2019
10 j'aime
5
La première partie privilégie les limites visuelles d'un jeu de plate-forme, ce qui "paradoxalement" permet de multiplier les seconds et troisième plans, tout en utilisant les transparences affectées...
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le 14 déc. 2019
8 j'aime
Après Kaili Blues, deuxième coup de maitre pour le jeune cinéaste chinois qui n'a pas encore 30 ans ! Le film est construit en deux parties distinctes qui finissent par s’interpénétrer...
le 5 févr. 2019
7 j'aime