Escape time
Avec son dernier trip onirique, le cinéaste chinois ne fait que fortifier la magnifique réputation qui le précède : celle de devenir prochainement l’un des meilleurs réalisateurs chinois de son...
Par
le 25 janv. 2019
53 j'aime
Sur la base de "Kaili Blues" (une esquisse au regard de ce 2ème long de Bi Gan), cette ode dans les tréfonds de la mémoire, au sein de la Chine rurale, portée par une mise en scène virtuose, est une orfèvrerie sensationnelle.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Films Chinois vus, Les meilleurs films de 2019, Février 2019 / Cinéma et Les meilleurs films chinois
Créée
le 12 févr. 2019
Critique lue 166 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Un grand voyage vers la nuit
Avec son dernier trip onirique, le cinéaste chinois ne fait que fortifier la magnifique réputation qui le précède : celle de devenir prochainement l’un des meilleurs réalisateurs chinois de son...
Par
le 25 janv. 2019
53 j'aime
J'ai finalement réussi à ce voir ce film à la dernière séance, j'ai cru que je l'avais raté... je l'ai vu en 2D malheureusement, mais malgré tout, quelle claque ! En fait je dois dire que je n'ai pas...
Par
le 25 févr. 2019
34 j'aime
6
C'est une invitation à tout ce que peut offrir le cinéma en terme d'expérience sensorielle et onirique que propose Bi Gan avec Un Grand Voyage vers la Nuit, dans la lignée et l'inspiration de Wong...
le 21 juil. 2020
29 j'aime
6
Du même critique
Indispensable pour son sujet et ce qu'il témoigne des violences sexuelles faites aux mineurs. Mais, comme objet de cinéma, hormis les inventions exportées du théâtre, il n'invente rien. Et...
le 20 nov. 2018
8 j'aime
8
De la Nouvelle Vague d'où L.Garrel tire sa filiation, il n'en reste ici que peau de chagrin. Exit la légèreté, le dilettantisme, la gracilité de Truffaut ou Rohmer. Bonjour le sérieux de pape d'un...
le 7 janv. 2019
8 j'aime
La puissance de cet EP, derrière la modestie de son contenu, tient à la sagace composition de ses beats, entre rap, hip hop et dubstep franc, et à la plume aiguisée et percutante de son auteur,...
le 25 mai 2017
8 j'aime