Que c’est beau ! Comment ne pas adorer ce film ? Existent-ils des personnes qui s’ennuient devant cette œuvre prodigieuse? Si elles existent véritablement je les imagine complètement désabusées, indifférentes aux belles choses, tristes à mourir… Bien sûr loin de moi l'idée de juger ceux qui n'ont pas aimé le film, je veux juste exprimer l'idée que je ne parviens pas à imaginer que ce film puisse laisser indifférent le public. C'est si merveilleux. La nature est sublimée dans ce documentaire fascinant, il me parait impossible d’y être insensible.
Ce film est un gros coup de cœur, confirmé, par plusieurs visionnages. Oui, j’aime vraiment ce documentaire. Les images sont si belles, les animaux aperçus sont si bien choisis, les décors si variés, ils constituent un panel riche, un très large horizon, de la vie sur notre si belle planète.
Au-delà du discours écologique et parfois culpabilisant que l’on trouve dans certains documentaires, Un jour sur Terre nous offre la beauté du monde, en toute émotion, dans une délicatesse et une authenticité bienvenue. Bien sûr, Anggun, la narratrice ne manque pas de nous rappeler l’urgence de préserver cette nature en souffrance à la fin du film, mais jamais le public n’est pris en otage par un discours alarmiste, seulement par la beauté des séquences hypnotiques.
Qu’est-ce que je suis bien devant ce spectacle! C’est l’un de mes documentaires préférés. La voix d’Anggun est sublime. Je pourrais l’écouter des heures et des heures. Ce rôle de narratrice lui va tellement bien. Elle respire la douceur, la joie de vie, l’amour. Je l’aime. C’est idiot, mais je dis les choses comme je les ressens, sa voix posée sur ses images d’une pureté immaculée me remplit d’un sentiment d’amour et de complétude.
Je recommande ce film à tout le monde. Peu importe que vous aimiez ou non les documentaires animaliers, celui-ci est vraiment particulier. Il a une aura.
Si je ne manque pas d’éloges à l’égard de ce film, je sais aussi me montrer tatillon et lui reprocher quelques longueurs, et une sélection un peu arbitraire des paysages et des créatures sélectionnés. Un manque de fil rouge évident et pourtant tellement compréhensible. Le choix a dû être si difficile, et pourtant nécessaire. Pourquoi parler des baleines bleues plutôt que des orangs-outans, pourquoi se concentrer sur les ours polaires et ignorer les abeilles ? Bref, on se rend compte que l’horizon du film n’est pas assez large, car limité par son format, et pourtant tout est déjà si beau.
Regardez ce film! Vous ne le regretterez pas!